Alaskam façonne un univers où machines et textures dialoguent librement. Entre rythmes lents, pulsations brutes et espaces suspendus, ses compositions tracent des paysages sonores à la croisée du club et de la contemplation. Sur scène, les synthétiseurs et boîtes à rythmes deviennent terrain de jeu, laissant place à l’improvisation, à l’instant, à la respiration du son — une approche vivante, mouvante, toujours en construction.
Basé à Nantes, l’artiste a partagé l’affiche du Fusion Festival, du Tilliacum ou de Stereolux, aux côtés de Max Cooper, Extrawelt ou Thylacine. En 2025 paraît Fusion, dixième album né de ses performances live : une matière sonore captée à chaud, entre tension rythmique et souffle électronique.
En parallèle, il développe NAW/IR, un projet à deux voix qui explore la frontière entre le corps et la machine, la parole et le son. En solo comme en duo, Alaskam poursuit la même quête : créer des espaces d’écoute où l’on ne sait plus si l’on danse ou si l’on rêve.